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« Un bout de ficelle, le rythme de sa propre respiration,
un visage, un regard qui vous donnent la certitude d’exister,
une séance où l’on est seul avec quelqu’un :
peu de chose, moins que rien, simplement ce qui m’arrive quand je puis l’accueillir.
Alors le trouvé n’est plus le précaire substitut du perdu,
l’informe n’est plus le signe du chaos, (…),
l’esprit ne fonctionne plus comme organe séparé du corps. »
J.B. Pontalis.